Ca serait pour faire du positif (ça fait toujours bizarre de parler de positif pour un négatif sur fond noir

)
En fait, en lisant le fil en entier, j'avais l'impression que le voile coloré n'était pas si gênant que ça.
Dans le livre "The book of alternative photographic processes", les 3 collodions sont évoqués :
- collodion humide,
- collodion sec,
- "collodion emulsion" (également appelé gelatin dry plate émulsion).
Seuls le 1er et le 3e sont détaillés. Sur les émulsions de collodion (eau distillée, potassium bromide, potassium iodide, silver nitrate crystals, gratine, chrome alun, thymol, grain alcohol), les révélateurs à l'oxalate ferrique (ferrous oxalate) et l'acide pyrogallique sont utilisés. Ou alors, un mélange d'hydroquinone et de metol (appelé MQ) à partir des années 1890. En révélateurs modernes, le Kodak Dektol ou le Kodak D-49 (qui peut se faire soi-même).
Je mentionne ça car, bien que différent, je me demande s'il n'y a pas des similitudes dans les révélateurs.
Historiquement, ce que tu utilises serait entre le collodion sec (plongé dans un bain de nitrate d'argent comme le collodion humide) et les émulsions à base de gélatine (qui ressemblent dans l'esprit aux émulsions liquides d'argent).
Bref, pas plus avancé, ça me donne envie de tester
