Effectivement, comme je l'expliquais sur un autre fil récemment, en été, comme celui qui se termine, très très chaud, travailler la gélatine relève de la gageure. Je parle de l'oléotypie qui demande une résistance mécanique évidente. Quand il fait trop chaud, cette gélatine approche le point de fusion, la moindre sollicitation la déchire.
La tanner permet de relever ce point de fusion. Malgré tout, suivant le procédé, il faudrait faire des tests pour trouver un équilibre et adapter en conséquence le procédé.
En ce qui me concerne, j'ai suffisamment de paramètres à gérer, pour ma petite tête, et je préfère me mettre en vacances en été et faire d'autres découvertes.
A+