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Révélateur pour gélatino-bromure

Démarré par Edouard Franqueville, 16 Mai 2008 à 01:38:34

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Edouard Franqueville

Bonjour Lionel,

Mes plaques sont coupés, ma gélatine rince, mon chassis est pret, mais mais ... quel révélateur employé ?

J'ai de l'hydroquinone et du génol a dispotition, encore faut il savoir dans quelle proportion les mettres. En suivant les indications d'un livre de photo datant de 1910 (ou les gelatino-bromure sur verre étaient encore vendues) je n'ai que peu d'info et il y a besoins de borax et autre choses que je n'ai pas .

sinon que penser du 10,100,1000 ?

mince je ne retrouve rien ce soir et il se fait tard, je regarderai demain

Lionel

Bonjour Edouard,

Je n'ai jamais essayé le 10/100/1000, ce serait peut-être l'occasion...  :)

En ce qui me concerne, j'avais essayé deux ou trois révélateurs style ID11, et j'avais des problèmes de décollement ou de voile chimique. J'ai donc vite abandonné tout ça pour fabriquer mon révélateur à base de génol, hydroquinone, sulfite, carbonate et bromure.
On retrouve les bases essentielles d'un révélateur moyen et l'on peut en faire varier les proportions à volonté pour obtenir le négatif qui conviendra à tel ou tel procedé de tirage, c'est superbe.
Je n'ai plus jamais eu de problèmes de décollement ou de voile. les plaques sont parfaitement claires.
Je n'ai pas la formule en tête, mais j'utilise à peu de choses près celle que j'ai donné dans l'article sur les révélateurs :

Pour un litre :
- Eau 1000ml
- Génol 2 grammes : Développateur (détails, modelé)
- Sulfite de Sodium 35 grammes : Conservateur
- Hydroquinone 5 grammes : Développateur (contraste, densité)
- Carbonate de Potassium 25 grammes : Accélérateur
- Bromure de potassium 1 Gramme : Anti-voile

Je l'utilise généralement dilué à 1+1 pendant 3 à 10 minutes, les plaques sont hyper tolérantes et supportent le "n'importe quoi" en matière de développement  :D
A vrai dire, je ne mesure ni le temps, ni la température. Les plaques étant non panchromatiques, on a l'avantage de contrôler de visu le déroulement de la révélation.
Pour ce faire, j'utilise la vieille méthode qui consiste à observer l'image au dos de la plaque à travers le verre. On doit distinguer les hautes lumières presque noires et un peu de détails, sans plus.  Le coté émulsionné de la plaque doit sembler un brun surdeveloppé. Pour cette méthode, c'est une question d'habitude et d'observation dans le temps. Sinon, je chronomètre le temps que les hautes lumières mettent à apparaitre et je multiplie ce temps par 10 pour trouver le temps de révélation total. Si mes hautes lumières commencent à apparaitre au bout de 40 secondes, alors le temps total de révélation sera de 400 secondes soit 6 minutes et 40 secondes. C'est évidement une base, et ce temps peut varier suivant le "feeling".
J'ai trouvé ces méthodes dans les vieux grimoires de la photo ancienne et ça fonctionne à tous les coups. On se libère franchement de l'angoisse du négatif dans la cuve en se demandant comment on va le retrouver à la sortie !  ;D Je dirais même qu'en voyant son négatif naître, on comprends mieux les mécanismes et ce qui se passe dans nos cuves mystérieuses. Les négatifs du commerce (si on ne les a pas abandonné), traités ensuites sont beaucoup moins source de stresse !  ;)

Edouard Franqueville

Merci Lionel,concernant la conservation de ce révélateur, comien de temps peut on le garder en bouteille opaque, une fois l'air chassé ?
J'ai mis ma gélatine au congel hier soir, et j'avais de petite taches blanches, je les ai développés ce matin en sortant de chez moi, me voila partiellement métissé :)
je n'arrive pas a remettre la mains sur les formules de révélateur basique que j'avais trouvé dans un de mes livres, mais j'en mets quelques une ici :

Premiere Méthode - Developpement Rationnel

Dans le développement rationnel, l'opérateur fait varier les proportions des éléments, selon le temps de pose recu par la plaque et en vue du resultat a obtenir.
Developpon un clichié 9x12 par cette methode et avec un revelateur a l'hydroquinone-iconogene.
Nous formons les deux solutions suivantes :

A
Eau bouille et filtrée 1000cc
Sulfite de soude cristallisé 120gr
Hydroquinone 6gr
Iconogene 10gr

B
Eau bouillie et passée 500cc
Carbonate de potasse

Nous prenons dans une cuvette 100 parties de A et 10 parties seulement de B

Apres avoir plongé la plaque dans le bain, nou agiton  alors la cuvette et nous attendons dtroics ou quatre minutes?.
Un plaque a pose normale ou legerement surexposé viendra bien dans ce bain
Si l'image tarde trop a se former, nous ajoutons de la solution B peu a peu et en petitte quantité en niterposant un certain espace de temps entre chaque addition du bain. Afin que l'effait ai pu se produire.
Il faut sortir la plaque chaque fois qu'on joute de la solution B et agiter la cuvtte pour opérer le mélange, avant de remettre la plaque dans le bain . En augmentant prudemment et progressivement la quantité d'alcalin, nous devns obtenir sur le cliqué un modelé bien dégradé et des détails meme dans les parties les plus transrentes d negatif.
Pour arriver a ce résultat, la dose de la solution B peut etre porté jusqu'a 20 ou 30 parties pour 100 de A
Si dans le bain initial : A, 100 B, 10 l'image e montrait trop rapidement, c'est quil y aurait forte surexposition, et au lieu d'ajouter de la solution B l faudrait additionner le bain de 8 a 10 gouttes d'un solution de bromure de potassiuam a 10%
Voila la méthode classique, rationnel , la vieille, mais toujours bonne methode des bons praticiens. elle demande de la part de l'opérateur, une surveillance assez grande et une intervention assez fréquente qui lui permet de réellement créer son cliché.

Deuxieme méthode - Développement lent
Cette méthode done rpeque toujours d'excellents resultats avec tout le cliché, emais ele est surtout avantageuse pour le dévepmmenet d'une série de plaque de jumettes ou de detectives ayant recu un impression a peu pres égale.
Le bain employé doit etre tres dulué , le développement durera alors plusieurs heures, mais les clichés seront limpides, tres détaillés et tres doux. ne série de douze cliché peut etre développée en deux heure, ce qui fait que le développement lent est, par le fait, le plus rapide.
On emploie pour le développement une cuvette verticale a douz ou dix-(huit rainrures, la cuvette est en verre et en ebonite, etc ..

Voici le révélateur indiqué par Fourtier, pour un développement lent, il est tres bon :

Eau distillé 1000cc
Hydroquinone 15gr
Suflite de Soude cristalisé 75gr
Carbonate de potasse 25gr
"""""""""" de soude  75gr
Ferrocyanure de potassium 10gr
Borax 2gr

Le bain lent est formé de 60cc de la solution ci dessus et de lun litre d'eau.
Nous placon nos clichés dans la cuve verticale pleine du révéltaeur lent. Nous couvrons la cuve d'une coucercle opaque qui la mets a l'abri de la lumiere, nous pouvons alors quitter le laboratoire et nous roulez un loulou. Dans un quart d'heure, nous revenons et nous retournons les clichés dans leurs rainures, tete-beche.
On recouvre la cuve et on laisse le révélateur agir.
Au bout d'une heure our deux ,tout les cliché sont suffisamments développés, nous le reconnaissons au dos des plaques. Nous alvons alors sommairement les clichés et nous les fixons soit dans une cuve verticale , soit a la maniere ordinaire. nous opérons de lavage final.


désolé pour les fautes de frappes, l'essentiel est qu'on comprenne ;)

Edouard Franqueville

Bon j'ai rassemblé les composant, mais il me manque toujours le bisulfite de sodium, j'irai en acheter demain matin, en attendant je vais faire des test ce soir sur des chutes de verre de 6x7 environ, pour avoir une idée de la sensibilité, je les mettrais dans de l'id11, peu importe le voile, c'est juste pour avoir une idée de savoir si ca marche, et si oui, comment l'exposé

Au passage je rajoute une formule de révélateur "Standard" trouvé dans une livre :

Ref : Gevaert 201

Eau 1000cm3
Metol 0,5g
Sulfite de Sodium anhydre 50g
Hydroquinone 6g
Carbonate de Sodium anhydre 32g
Bromure de potassium 2g

Au passage, votre article sur les composants des révélateurs est extremement interessant, bien plus que les listes de recettes qu'on trouve, et qui sont souvent sans explications, décidemment, quelle mine !!

Edouard Franqueville

premiers essais peu concluant, si j'en crois ma cellule et le résultat obtenu mon émulsion tourne autour de 0,25 Iso et encore , en la poussant un peu :D, je rééssaiera demain en lumiere du jour.
Quand a l'id11, je n'ai pas eu de pb particulier malgré un temps de révélation de 20 min !! c'est dans le fix que ca se gate et la gélatine se désagrege un peu

Lionel

Edouard, tes tests d'hier ont été faits en lumière artificielle ? As-tu fais murir un peu l'émulsion au chaud après la précipitation ?

C'est le problème de l'ID11... L'émulsion se barre dans le fixateur. ALors qu'avec un révélateur maison, elle ne bouge pas tout au long du traitement.  :)

Edouard Franqueville

Effectivement les tests d'hier soir étaient en lumiere artificielle, sinon pour le "murissement" je ne l'ai pas fait, c'était dans une coins de ma tete, mais comme a mon habitude j'ai du lire ton article en diagonale, une fois précipité je l'ai coupé en cube et rincé pendant 5 heures, et mis au congel, et puis quand j'ai voulu faire mes essais hier j'ai eu trop de mal a prendre les morceaux de gélatine, l'avantage en revanche c'est que le gel sépare bien l'eau et j'ai pu en démoulant enlevé l'excédent d'eau, du moins en partie.
Pour le moment l'émulsion est dans un pot de yaourt bouché, lui meme dans une cuve de développement dans le frigo. Je pense que je vais l'y laissé le temps d'aller acheter le sulfite de sodium qu'il me manque pour le révélateur, je pense mercredi prochain, j'ai un rendu de dessin a bouclé pour mardi donc je n'aurai pas trop le temps de refaire un couchage + test, sauf si une idée lumineuse me vient et qu'elle est rapidement executable :D.

A partir du moment ou j'aurai mon révélateur, a ton avis combien de temps faut il a t° ambience (en ce moment 24° chez moi) pour que l'émulsion soit apte au service ?

J'ai également 2 autre chassis a préparés, mon dieuque c'est long :D

Je mets ici une repro du premier essai inversé sur photoshop, ce sont mes doigts qui tiennent la plaque en bas.

Donc beaucoup de défaut, sous exposition, mauvais couchage (c'était en partie voulu :) ) et surtout pleins de poussière ? peut etre n'aurais pas du sécher les plaques au seche cheveu ou les mettres dans une boite pour les protéger ?


A noter que j'ai préparé les plaques une a une et que donc je n'ai pris que de petites quantité d'émulsion, c'est peut etre la raison des petite taches, en fait je pense que l'eau résiduelle du rincage ne s'est pas associé a la gélatine, et a créer ces petites zones, mais le prochain coup apres maturation je rechaufferais bien l'émulsion et dans des quantités plus importante pour essayer d'inclure les restes d'eau.
Sinon peut etre en pressant la gélatine sortie du frigo, comme on le fait pour le tofu j'arriverai a sortir mieux l'eau ?

Lionel

Edouard,

En lumière artificielle, l'émulsion est beaucoup moins sensible car les rayons sont beaucoup plus jaunes/orangés que la lumière du jour, plus bleue et chargée d'U.V.

Il n'y aucun problème pour l'utilisation du révélateur à 24°C. Je l'ai utilisé à 29°C, mais au delà, l'émulsion se ramolli trop, c'est mauvais.

Le problème de poussières vient en effet du sèche cheveux. Il faut au maximum éviter les poussières qui engendrent ce genre de problèmes de taches que rien ne saura éliminer. La poussière, en tombant sur la gélatine, provoque un petit dôme. Ceci amènne à cet endroit, une couche d'émulsion plus épaisse qui donnera ces taches... Il faut aussi éviter de faire secher les plaque en mileu trop chaud, car cette fois, il se produit de petits cratères qui provoquent aussi des taches au final.
Il faut obtenir une couche d'émulsion la plus régulière possible.

Je vois aussi que ta plaque à subit un décollement d'émulsion sur la moitié de sa surface, tu peux remercier l'ID 11  ;D , avec lui, tu auras toujours ce problème.

A bientôt pour la suite.

Edouard Franqueville

Pour le spectre de lumiere j'y ai pensé apres, l'éclairage est moitié lampe eco blanche (assez froid donc) et moitié tungsten , mais de toute facon c'était trop peu j'ai été impatient :D

Pour les poussières c'est entendu, donc il faut que je laisse tomber l'enduction des plaques une a une, ca monopolise un local (les toilettes) pour deux plaques du coup je n'ai pas le temps de laisser sécher :/ et en plus ca entraine les problemes de "dilution" que j'ai sur de petites quantités.

J'ai laissé mon émulsion a murrir tout le w-e donc, température ambiente, mais vu qu'il a fait frais je ne sais pas si ca sera suffisant, ce qui m'inquietes plus c'est sa conservation etant donné que j'en ai fait une assez grosse quantité, un peu trop meme, et que je n'ai que 8 plaques vierges qui me reste, il faudrat que j'aille racheter du verre ou que je fasse du papier.

J'ai passé une commande de produit chez selsdargent, il me dit qu'il la recevra d'ici 2 semaines, j'ai mis tout ce dont j'avais besoins pour ambrotype et gelatino-bromure, et le collodion est disponible immédiatement a ma pharmacie (100 euros le litre tout de meme !)

En attendant j'irai mercredi chercher sur sulfite de sodium pour préparer le révélateur et reprendre les essais sur le gélatino bromure.

Lionel

Edouard,

Attention, la maturation de l'émulsion ne va pas faire passer ton émulsion de 0,5 à 200 iso. Au maximum tu vas doubler ou tripler la sensibilité, et encore.
Je te donne un secret pour augmenter la sensibilité (j'atteinds 6 à 12 iso) : L'ammoniaque !
Ajouter un peu d'ammoniaque à la précipitation du bromure d'argent donne ensuite une liqueur alcaline qui va augmenter la taille des grains d'argents pendant la maturation à chaud.

Il faut juste veiller à ne pas exagerer le temps de maturation qui sera fonction de la température (une heure à environ 50°c), sinon, voile.
De même il faudra TRES soigneusement laver l'émulsion. Toute trace d'ammoniaque porduira du voile, des zones, une perte de sensibilité !!

De même, tu verras que ton révélateur maison "augmentera" la sensibilité de tes plaques.

Edouard Franqueville

Merci beaucoup pour ce tuyau, dont tu as déja parlé et que j'avais oublié :), mais je ne crois pas avoir lu quelque part quelle quantités étaient envisageable ?

Avez vous lu le petit article qui concerne les recherches du CNRS sur l'apport de sensibilité grace au formiate d'argent ? Je n'ai pas bien compris que ces recherches soient datées de 1999  ???

http://www.cnrs.fr/cw/fr/pres/compress/emulsionsphoto.html


Sinon je suis aller acheter le sulfite de sodium, j'ai tout ce qu'il me faut a présent, il ne me manque plus qu'un peu de temps ! je viens de calculer qu'en achetant les produits (en quantité raisonnable), le litre de D76 est a 0,81 centimes !! vendu presque 5 euros en magasin, je trouve ca un peu fort quand meme.

Ca me fait pensé que j'ai encore oublié le fichier texte ou était détaillé le traitement anti-halo a base de suie si je me souvient bien ?

Au passage, est ce que le fait de noircir le dos des plaque avec un fumage serait envisageable ? En tout cas je vais faire un essai a blanc pour trouver quelques chose qui me produise une fumée assez épaisse et qui ne laisse pas de trace sur la plaque

Petite astuce pour la reproduction d'un daguérréotype, il faut percer un trou dans une plaque de carton noir pour y glissé l'objectif et éclairer par deux sources venant de coté, de cette facon tu n'auras aucuns reflets ;)
elle m'a été donné par un restaurateur de daguérréotype qui vas en refaire cet été et a qui j'ai vendu une graflex ! un monsieur tres interessant

Lionel

Le formiate d'argent... Yves Tourmen m'a envoyé il y'a quelques mois, un echantillon de formiate de potassium, si je me souviens bien, pour faire quelques essais. Le flacon est toujours sur mon étagère, je n'ai pas trouvé le temps pour faire ces essais. De ce que j'ai lu, je ne sais pas si la fabrication artisanale d'émulsion avec le formiate est possible à notre niveau. Il me semble qu'il faille un contrôle précis du débit de formiate au moment de la précipitation, car il n'agit qu'à ce moment là...

J'ai remarqué que tous ceux qui se lancent dans le gélatino bromure, cherchent à tout prix le maximum de sensibilité... Pourquoi ?

Quelques iso sont largement suffisants pour de l'instantanné en plein jour (j'ai atteinds 1/60e à F2.8)

Il faut garder à l'esprit que pour obtenir de la sensibilité, il faut ajouter des substances qui demandent un contrôle de nombreux paramètres, sans quoi l'émulsion sera mauvaise (voile). A notre niveau, nous n'avons pas les moyens techniques pour ces contrôles et avoir une régularité parfaite.

"Plus on fera compliqué, plus les difficultés s'accumuleront, plus le taux d'echecs augmentera. Pour ça, il faut gravir les échelons doucement et surement."  ;)

Pour le anti-halo, là encore, c'est un détail. Le halo n'est visible réèllement qu'autour des taches très lumineuses.
S'encombrer d'une couche dorsale qui peux engendrer des problèmes ensuite, ne ferait qu'ajouter à la démotivation et à l'abandon.

Edouard, dans un premier temps il est capital de réussir à obtenir de belles plaques propres, bien régulières, bien exposées, et bien traitées.
Une fois tout ceci acquit, tu pourras te rajouter des défis techniques comme l'augmentation de sensibilité, panchromatisation, anti-halo, etc.  ;)

Je garde ton astuce pour la repro des Daguerreotypes ! :)

Edouard Franqueville

La recherche de perfomance n'est pas du tout mon but, je te rassure la dessus ! simplement une fois qu'on a compris le principe, qui est relativement simple, on en vient a se demander qu'elle est la différence avec un film a 100 iso par exemple :), mais la faible sensibilité est au contraire quelques chose que je cherche, surtout pour donner de la pose a des portraits entre autre.

Donc juste de la curiosité pour ma part :D

Edouard Franqueville

Deuxieme essai donc , j'ai rencontre de nouveaux problemes, mais je prefere que ca soit maintenant :)

en fait j'ai porté mon émulsion a 50°C pour la refonte, mais comme je l'avais dis il restait de l'eau de rincage que je n'arrivai pas a éliminer. En chauffant un peu plus fort et un peu plus longtemps je pensais que l'eau de rincage allait s'amalgamer avec l'émulsion, mais j'ai oublié que l'émulsion serait aussi plus liquide.
En plus de cette anerie, j'ai "touillé" l'émulsion pensant que ca améliorerait l'absorption de l'eau, ca n'a en fait que créer des microbulles qui se sont réunis pour former des amas de bulles. Tanpis, j'ai quand meme enduit mes plaques (6) pour refaire les essai apres une maturation de 3 jours.

Donc voila pour le petit épisode dont je tire la morale :)

Maintenant passons au révélateur, j'ai appliqué tant bien que mal (balance au 0,5g) la recette en substituant le carbonate de potassium par du Borax, et je trouve les moyennes et basses lumières tres peu détaillé meme apres un développement de 20min, mais soyons honnetes, c'est bien mieux que l'id11 pourl e décollement, merci pour l'astuce :).

Je suis allé reprendre du verre, je vais le coupé/nettoyé/enduire proprement cette fois 6/12 nouvelles plaques afin de venir a bout de cette premiere émulsion qui me laisse uen grande marge de progression :D

Lionel

Pour le révélateur, je crois me souvenir que le borax est BEAUCOUP moins alcalin que le carbonate ! Le problème doit venir d'ici, car le Carbonate est l'accelerateur du révélateur, c'est lui qui donne la force aux developpateurs. Il faudrait s'en procurer car le borax seul ne me semble pas un bon choix pour nos plaques...

Pour les bulles, il faut passer par tout un tas de ce genre de petits problèmes pour les éviter ensuite... :)

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