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Bandes test - Ron Talis

Démarré par rajuarel, 18 Août 2013 à 16:52:50

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charlesguerin

c'est en lisant ce topic que je me dis que je travail trop à ""l'arrache"" et que j'ai quelques efforts à faire

olive92

Bonsoir à tous,

personnellement je pense que dans le cadre de nos procédés pour ceux qui travaillent avec des négatifs numériques, le mieux est de produit sa gamme sur son propre transparent avec l'imprimante, l'encre, la couleur employée... et tout qui va bien pour coller au mieux à notre méthodologie...

J'en mets une qui m'a pas mal servi, à vous de voir si elle vous convient et à appliquer une courbe de correction dédiée à votre procédé.

Olivier

rajuarel

Merci à tous pour vos réponses...
Je vois que ce sujet n'agite pas que moi !!!!!  ;D

Merci Mr Olivier pour cette bande... elle a l'air pas mal du tout !!!!
A adapter en effet...

erick Mengual

Bonsoir,
Une traduction d 'une méthode directement inspirée du livre "Keepers of Light " de William Crawfor prap Jean-Claude Pronier, sur mon site :
http://www.erickmengual.com/images/documents_pdf/temps_exposition_pour_tirage_contact_sous_uv.pdf

Bonne lecture
Erick Mengual

Collet

Lors de procédés assez pointus, genre palladium, l'exposition d'une gamme de gris en parallèle lors d'un premier tirage permet de quantifier la durée d'exposition (faite dans les mêmes conditions).
Les densitomètres sont aussi très utiles pour qui n'a pas un œil de lynx.
Les anciens régleurs en imprimerie n'avaient pas de densito et bossaient en regardant le filament d'une lampe au tungstène. En mattant le cliché, ils pouvaient déterminer la densité à peu près exacte plus et ou moins et caller l'exposition.
Comme nous avons tous des appareils extraordinaires qui font les temps de pose pour nous, sauf la café, on a oublié la surexposition et la sous exposition. Les scanners détectent la moindre des conneries et un petit coup de photoshop tente de rectifier nos erreurs.
Le ba&ba de la photographie commençait pas là, ce que beaucoup n'ont pas appris !
Il est vrai que pour le café, le moulin familial me pinçait le haut des cuisses et que je pratique Nespresso.....
J. collet

Armand

Bon, je sais, je suis blond. Et alors ? Bah, je ne comprend pas comment on peut se pincer le haut des cuisses en faisant un tirage sous UV à moins qu'un vilain troll ne vienne se glisser sous nos shorts .........

Avant d'aller me recoucher, je pense effectivement qu'une bande de test doit être instructive, au moins pour parfaire l'apprentissage. Je me demande si, en scannant et imprimant une bande test de Stouffer, ce serait une bonne méthode. Je m'explique : puisque, soit pour agrandir, soit pour retravailler un négatif, je dois le scanner et imprimer un négatif numérique, je passe par des appareillages, il me semble logique qu'en passant par les mêmes appareillages afin d'obtenir un négatif numérique de cette fameuse bande de test Stouffer, ce négatif de bande test présentera les mêmes caractéristiques qu'un négatif d'une oeuvre mémorable.
Le plus dur étant d'avoir une oeuvre mémorable.

Reflexion de blond ou pas plus idiot que çà ce que je dis ?

(PS) : je me remémore quelques séances, séant sur une chaise en bois, moulin à café entre les cuisses et quelques violentes douleurs en haut des cuisses. Tiens ? Moi aussi ? Et à l'époque, je n'avais pas le droit aux noms d'oiseaux qui auraient sans doute soulagé cette @#&<> douleur......

NestorBurma

<<Je me demande si, en scannant et imprimant une bande test de Stouffer, ce serait une bonne méthode.

Dans une première phase, non, il faut pouvoir garantir l'intégrité de chaque outil de mesure, y compris la gamme, c'est pour cela qu'une gamme est relativement chère.
Donc analyse étape par étape, avec une gamme de référence pour chaque étape, c'est le plus simple.
Ensuite vous pourrez contrôler votre chaine en utilisant un négatif type, accompagné d'une gamme de référence et cela dans un cycle complet, histoire de vérifier que tout fonctionne correctement.

charlesguerin

j'utilise des négatifs sur films ortholitho et je me dis qu'il serait peut être bon d'essayer de réaliser une copie puis une inversion d'une gamme pour optimiser les temps d'expo et de révélation de ce film.


NestorBurma

Citation de: charlesguerin le 20 Août 2013 à 09:59:12
j'utilise des négatifs sur films ortholitho et je me dis qu'il serait peut être bon d'essayer de réaliser une copie puis une inversion d'une gamme pour optimiser les temps d'expo et de révélation de ce film.

Bien sûr,
Avez-vous un densitomètre ?
Pour l'ortholitho comment est le rendu en demi-ton ?

<<une copie puis une inversion
Vous voulez dire 2 copies, 2 contretypes (le mot inversion peut prêter à confusion il est utilisé pour les films inversibles avec lesquels on obtient des positifs direct).

charlesguerin

je réalise des copies par inversion sur film aph d'arista (1er développement positif, inversion, 2nd développement négatif)

je n'ai pas de densitometre. la gamme de gris du film arista est assez bonne, j'obtiens de bon dégradé de gris. le développeur y joue beaucoup (grain/ contraste,). le seul bémol c'est les noir souvent très opaque. ce qui a tendance à me donner des films peu voué au cyanotype et gomme. ce qui m'embête avec ce procédé, c'est la perte parfois de détails. mais en règle général je m'en sors (mais c'est pas optimum). déjà je comprends mieux le type de négatif à utiliser pour un procédé. j'avance à petit pas. mais je pense faire des tests avec la gamme stouffer, ca me semble plus qu'intéressant (et utile).

NestorBurma

Citation de: charlesguerin le 20 Août 2013 à 11:20:13
je réalise des copies par inversion sur film aph d'arista (1er développement positif, inversion, 2nd développement négatif)

je n'ai pas de densitometre. la gamme de gris du film arista est assez bonne, j'obtiens de bon dégradé de gris. le développeur y joue beaucoup (grain/ contraste,). le seul bémol c'est les noir souvent très opaque. ce qui a tendance à me donner des films peu voué au cyanotype et gomme. ce qui m'embête avec ce procédé, c'est la perte parfois de détails. mais en règle général je m'en sors (mais c'est pas optimum). déjà je comprends mieux le type de négatif à utiliser pour un procédé. j'avance à petit pas. mais je pense faire des tests avec la gamme stouffer, ca me semble plus qu'intéressant (et utile).

Ok, le traitement en inversible est très difficile à caler pour faire des contretypes, sauf avec de l'autopositif qui est vraiment fait pour.
Pour éviter les noirs bloqués, il faut que le premier révélateur développe jusqu'à la montée de voile, sans pour autant donner un gamma vertigineux.

Dans un premier temps, pour bien comprendre la mécanique, il vaut mieux décomposer et utiliser le film sans inversion, avec 2 copies ou contretypes.

L'achat d'un densito sera aussi bien utile.

Collet

ce sujet est intéressant pour beaucoup.
on partait de négatifs numériques et on en revient
à des films argentiques, ce qui reste pour moi l'idéal pour le pt-pd.
Bien sûr, il faut faire joujou avec les révés mais c'est nettement plus  instructif que de se fier
à une imprimante....!
Le film Arista est un excellent support et reste abordable si ce ne sont le frais d'envoi.
D'après des ouie-dires, il s'agit d'un film  Agfa. Il se comporte effectivement comme l'Agfa-lith.
Free style est avare de renseignement à ce sujet.
Selon le type d'inversion chimique, on peut obtenir de bons contre types mais il n'y a pas de miracles à attendre si ce n'est la possibilité d'agrandir un 24x36 en 20x25,......avec le grain agrandi !
J.C

charlesguerin

nestor,
pour le 1er développement, oui je pousse la révélation jusqu'au voile. je pousse aussi l'insolation pour obtenir le voile. pour le densitomètre, si l'occasion se présente, je prendrais, mais question budget, pas tout de suite

jacques, ces derniers temps j'ai fait joujou avec pleins de révélateurs pour film. bizarrement, pour certains appareils, j'en utilise un spécifique pour être le moins embêté possible. pour le grain, je suis en format 120, fp4 et acros 100 pour mes toyscam (allez savoir pourquoi je prends pas le même film pour tout , j'en sais rien ^^) donc ca reste assez fin pour du 27/34 27/27

je dois refaire des agrandissements prochainement, j'en profiterais pour faire quelques tests que je n'ai encore jamais fait.

Charles

NestorBurma

Citation de: charlesguerin le 21 Août 2013 à 10:45:26
nestor,
pour le 1er développement, oui je pousse la révélation jusqu'au voile. je pousse aussi l'insolation pour obtenir le voile.

Je vous donnais juste le moyen de régler vos problèmes,
Mais si vous connaissez la voie et que les problèmes subsistent,
Je ne peux rien pour vous ;-)))

charlesguerin

:) ;)  je pense que le problème est aussi sur le négatif de base (pour ca que j'essaie plein de révélateur). tous mes agrandissements de film réalisé avec mon rz et développé dans de l'id11 n'ont jamais été bon en changeant l'id11 pour du g33 j'ai obtenu de meilleur résultat. je ne sais pas trop si je fabule mais bon :) par contre un agrandissement de négatif de HOLGA j'ai souvent peu de problème alors les négatifs ne sont pas au top... peut etre que je jauge mal aussi temps d'expo/ temps de révélation. il y a tellement de paramètre (objo d'agrandisseur, ampoule d'agrandisseur, etc...)  la technique s'affine à chaque session et je la comprends à chaque fois un peu plus. en tout cas merci ;)

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